Craquage de slip

par Electra
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Oops ! She dit it again … Bon, j’ai toujours comme objectif de faire diminuer cette monstrueuse pile de livres mais la vie ne cesse de me mettre des bâtons dans les roues : les braderies, les SP, les challenge… et quelques achats – le dernier date de peu .  La gentille libraire en a profité pour m’offrir une carte de fidélité –  mauvais signe !

BRADERIE ANNUELLE DE LA BM

Honnêtement, j’ai hésité à y retourner – j’avais du patienter plus d’une heure l’année passée. Finalement, la tentation était trop forte et tout s’est bien passée : à peine 1/4 d’heure d’attente et dans le bain ! Bon, on se bouscule toujours et on est frustré de ne repartir qu’avec dix livres, surtout quand on en trouve 8 en moins de vingt minutes. Un tour éclair et 10 livres plus tard …

♦ Saul Bellow – Les manuscrits de Gonzaga

Édité chez Flammarion, cette vieille édition (1992) m’a tout de suite fait de l’œil. Il s’agit d’un recueil de nouvelles – un genre que j’affectionne et un bon moyen de découvrir cet auteur avant de lire son roman.

♦ Donni Buffalo Dog – Des mocassins sur le bitume

Là j’avoue ne pas avoir trop réfléchi ! Donni Buffalo Dog, de mère américaine et de père Pawnee-Cherokee, est auteur, dessinatrice et sculptrice. Elle vit en Provence et elle partage ici ses mémoires publiées chez Le fil invisible. Cet extrait m’a plu :

Regarde derrière toi, disaient les grands-pères. Pose tes yeux sur le passé, examine à nouveau ce qui s’est produit et ainsi, peut-être, trouveras-tu une manière d’ajouter à ta croissance dans les hivers à venir.  » J’avais appris l’existence de mon père sans donner la moindre importance à sa mort mais, quand une certaine petite chienne pour laquelle j’avais une amitié profonde mourut aussi, la vie que j’avais vécue jusqu’alors disparut avec elle. Et quand, après avoir survécu à l’enfer pour trouver l’abstinence, je me vis moi, une femme américaine, sobre, approchant de la cinquantaine… ressembler à tant d’autres, cette similitude fit sur mon esprit vieillissant l’effet d’une abrasion car je savais également que je n’avais pas la possibilité d’agir comme ces autres. Quelque chose devait changer ou sinon moi, aussi, j’allais mourir.

♦ Brooke Stevens – Tatoo girl

J’adore les couvertures des éditions Autrement et j’ai craqué pour deux romans. La présentation de l’éditeur parle d’elle-même : À deux heures du matin, dans le hall désert d’un centre commercial de l’Ohio, un veilleur de nuit découvre une jeune fille étendue par terre. Inerte, aphone et anonyme, elle est tatouée de la tête aux pieds…Tattoo Girl est une course-poursuite hallucinée dans la nuit noire de l’Amérique profonde, une histoire de possession, envoûtante, lumineuse et sombre, où se mêlent pureté et perversion, bien et mal, beauté et cruauté. Inséparables. Lucy, Emma, le nain Pidge, Maître Howard ou pasteur Joe, tous meurtris, cassés dans leur enfance par un abandon, une violence ou un handicap, suivant leur voie, chaotiquement, en quête de transcendance, à la recherche frénétique du beau absolu.
Un grand roman sur la perte de l’innocence originelle.

♦ Kenneth Cook – Cinq matins de trop

Et le second roman, australien ce coup-ci, ne m’a pas laissé indifférente très longtemps …

Jeune instituteur dans l’Outback, au cœur de l’Australie, John Grant doit passer la nuit à Bundanyabba avant de s’envoler pour Sydney. Il dépose ses valises à l’hôtel, va boire un verre et jouer dans l’un des nombreux pubs de cette petite ville torride et poussiéreuse, où tout le monde s’ennuie… Cinq matins de trop nous fait vivre le cauchemar éveillé d’un homme ordinaire, qui devient peu à peu accro à l’alcool, au jeu, au sexe, à la violence, jusqu’à l’autodestruction.
D’une violence et d’une force peu communes, ce court roman ne se laisse pas oublier. S’y frotter, c’est s’y brûler. A. F., Lire.
Cinq matins de trop vous feront passer un vrai, un super sale moment. Christophe Donner, Le Monde 2.Récit mi-amer, mi-émerveillé qui se savoure comme une bière, d’un trait, et sans modération. Astrid de Larminat, Le Figaro littéraire.

♦ Tony Hillerman – L’homme squelette

Une enquête de Leaphorn et Chee – j’ai décidé qu’il me les fallait tous ! Je n’en ai trouvé un mais j’avais déniché deux autres volumes quelques jours auparavant. Les éditions Rivages Noir ont fait du bon boulot.

♦ Russell Banks – La réserve

Publié chez Actes Sud, j’ai pris ce livre sans trop réfléchir – le nom de l’auteur a parlé pour lui-même. Après en lisant la présentation de l’éditeur, j’ai eu quelques doutes mais Russell écrit merveilleusement bien. A voir donc ! L’un de vous l’a-t-il lu ?

♦ Adrian McKinty- Le fleuve caché

J’ai entendu du très très bien de ce polar écrit il y a quelques années et mettant en scène un flic paumé, accro à la drogue après une mission d’infiltration. Publié chez Gallimard en 2007, dans leur collection Série Noire – je me suis un peu battue pour l’avoir !

♦ Nancy Lee – Dead girls

J’avoue sans détour : la couverture jaune du livre et son titre m’ont poussé à l’arracher de sa boîte – sans trop me soucier de l’histoire. Il s’agit une nouvelle fois d’un recueil de nouvelles : Sous la plume de Nancy Lee, des voix de femmes singulières et familières s’élèvent des rues de Vancouver. Usées par la vie, amoureuses du mauvais garçon ou enchaînées à leurs obligations familiales, ces femmes vivent plus ou moins en marge d’une société qui ne leur laisse aucun répit. A la menace tangible d’un tueur en séries, dont chacune croise un jour le chemin, s’amorcent les extrêmes inhérents aux amours destructeurs: drogue, prostitution ou folle cavale. Pas mal, non ?

♦ Bernard Clavel – Maudits sauvages

Datant de 1989, ce livre m’a tout de suite attiré par sa couverture et par le thème cher à ma petite personne, celui des Indiens.  De quoi s’agit-il ? Depuis des temps immémoriaux, les Indiens Wabamahigans vivent sur la Longue Île et la baie James leur appartient. Personne ne leur disputait ces territoires ingrats dont ils sont seuls à exploiter les ressources. Cependant, au début des années 70, le gouvernement québécois entreprend la construction d’énormes barrages hydro-électriques qui menacent d’engloutir la terre de leurs ancêtres. La « civilisation » a déclaré une guerre aveugle aux derniers des Wamabahigans.

Après avoir vu le documentaire sur la crise d’Oka, toujours au Canada, je suis curieuse de lire ce roman.

♦ William Gay – La mort au crépuscule

Ce conte gothique noir, paru aux Éditions le Masque m’a plu par sa couverture et par sa quatrième : l’histoire et les références.

Kenneth Tyler, 17 ans, court pour sa vie dans la forêt maléfique du Harrikin. Franchit des ravines profondes sous la pluie et affronte l’obscurité terrifiante peuplée de fermes abandonnées, d’étranges sorcières et des silhouettes rouillées de machines agricoles à l’abandon. Au fond de sa poche, des photos qui témoignent de la fantaisie perverse et démente avec laquelle Fenton le croque-mort dispose pour leur dernier séjour les corps qu’on lui confie. A ses trousses, Sutter, le tueur démoniaque chargé par Fenton de récupérer les photos… Conte gothique noir construit autour d’une course-poursuite hallucinante qui est une véritable épreuve pour les nerfs du lecteur, La Mort au crépuscule évoque à la fois La Nuit du chasseur de Davis Grubb et Hansel et Gretel de Grimm. C’est aussi un superbe roman d’initiation, où la perte de l’innocence se paie au prix fort.

ACHATS

Au vide-grenier du quartier Viarme – j’ignorais sa tenue mais ma mère me l’a dit le matin même. Quelle bonne excuse pour aller y promener son chien et revenir avec sous le bras quatre nouveaux romans !

En premier, deux romans de Tony Hillerman, parus chez Rivages Noir – impossible de résister aux enquêtes de Leaphorn et Chee. Il s’agit de Premier aigle  et Blaireau se cache.

J’ai également craqué pour un policier un peu à part, le duo étant un flic et son chien d’attaque dans Suspect écrit par Robert Crais.  Enfin, je n’ai pas pu résister à Un homme en suspens, publié chez 10/18 et signé Saul Bellow.

Lors de la venue à Nantes de Joyce Maynard, impossible de repartir sans rien entre les mains, j’ai donc acheté son dernier roman, Les règles d’usage  et Une adolescence américaine.

Enfin, j’ai croisé sur la page FB de Tasha la route d’un auteur sud africain, Wessel Ebersohn. Il est le créateur du personnage de Yudel Gordon, un psychiatre juif affecté au service des prisons, en butte au quotidien à une légitimation de l’injustice au pays de l’apartheid où certaines lois protègent les criminels et fait de la torture une pratique institutionnalisée. Cinq livres ont été traduits à ce jour (Tasha a lu le dernier) – pour ma part, j’ai préféré commander à ma librairie de quartier le premier volet paru chez Rivages Noir, Coin perdu pour mourir.

Forcément en retournant aller le chercher à la librairie, je n’ai pas résisté et j’ai acheté Souvenirs d’un chef sioux , écrit par Luther Standing Bear (Ours Debout) et publié à la petite biblio Payot.

Né en 1868, chef des Sioux Oglala, Luther Ours Debout fut l’un des premiers Indiens à témoigner d’une existence qui l’amena du tipi paternel au monde étrange et inquiétant des Blancs. Son récit nous conduit de son enfance et de son apprentissage de la vie indienne jusqu’au jour où, après avoir participé à la tournée européenne de Buffalo Bill, il devient chef de sa tribu. Document d’une indéniable valeur historique et ethnographique, ce livre est aussi un plaidoyer en faveur d’un peuple injustement méprisé et massacré, en même temps qu’une vision lucide et sans complaisance de la société des hommes blancs.

Je suis allée en librairie à nouveau quelques jours et j’ai résisté – très fière de moi – mais un deuxième tour mercredi dernier aura eu raison de moi !

Je suis donc repartie avec trois nouveaux romans sous le coude :

J’adore la collection Totem de Gallmeister et je n’ai pas su résister au roman de Bruce Hollbert, Animaux Solitaires. Sublime couverture 😉

Comté de l’Okanogan, État de Washington, 1932. Russel Strawl, ancien officier de police, reprend du service pour participer à la traque d’un tueur laissant dans son sillage des cadavres d’Indiens minutieusement mutilés. Ses recherches l’entraînent au cœur des plus sauvages vallées de l’Ouest, là où les hommes qui n’ont pas de sang sur les mains sont rares et où le progrès n’a pas encore eu raison de la barbarie. De vieilles connaissances croisent sa route, sinistres échos d’une vie qu’il avait laissée derrière lui, tandis que se révèlent petit à petit les noirs mystères qui entourent le passé du policier et de sa famille.

Ce roman vient tout juste d’être publié (le 20 octobre), il n’était pas placé en bonne vue mais dans une rangée plus bas, c’est voir le nom de Patti Smith sur la couverture qui a fait tilt en moi. Celle-ci déclare :  « Wunderkind réveille tous les sens. La prose miroitante et viscérale de Nikolai Grozni déferle telle une symphonie, avec un piano à queue pour machine à écrire infernale. » Et ce n’est qu’une critique parmi d’autres encore plus élogieuses. Et oui, encore un ado mais celui-ci me parle un peu plus…

L’histoire ? Sofia – Bulgarie – 1987 – Pianiste surdoué de quinze ans, Konstantin en a assez de son rôle d’élève, de l’air vicié de Sofia et de son horizon de granit. Il bouillonne, emporté par sa soif et son génie, tiraillé par sa sensibilité et son orgueil, exultant au fil des airs qu’il joue et qui le portent aux nues. On est en 1987, deux ans avant la chute du mur de Berlin. Et dans l’urgence de l’adolescence, chaque instant est une rébellion.

Charles Portis, le nom vous dit quelque chose ? Oui, c’est lui l’auteur de True Grit, ce western adapté à au cinéma en 2011 par les Frères Coen (cf. mon billet de l’époque).  J’aime bien l’univers déjanté de Christopher Moore et en lisant la quatrième de couverture de ce roman écrit en 1979, j’ai su qu’il me le fallait. Il sort tout juste en librairie.

Un flingue planqué au fond de sa glacière, Ray Midge part en quête de ce qu’il a perdu : sa femme, ses cartes de crédit, sa Ford Torino et sa tranquillité d’esprit. Cap vers le sud, là où le mène le double des récépissés d’American Express. Entre escrocs rêveurs, hippies réactionnaires, évangélistes et témoins en tous genres, Ray ramasse sur sa route le docteur Reo Symes, épave échouée au fond d’un parc à roulottes mexicain. Sous les tropiques, les retrouvailles conjugales se précisent et un duel se prépare à l’ombre des ruines mayas… Un road trip déjanté, hilarant, à travers l’Amérique centrale.  Publié aux éditions 10/18.

Voilà, maintenant je m’enferme à double tour chez moi et je ne ressors qu’au printemps 2017 !

Et pourquoi pas

30 commentaires

Nelfe 28 octobre 2016 - 0 h 11 min

En même temps… Comment veux-tu résister !? ^^
« Cinq matins de trop » est top (lu et approuvé).
Allez, à 2017 ! 😉

Electra 28 octobre 2016 - 7 h 21 min

Merci et puis il fait froid donc on reste au chaud et on lit !

Hélène 28 octobre 2016 - 8 h 09 min

Rôo ils me font tous envie, quelle chance tu as !!

Electra 28 octobre 2016 - 9 h 09 min

Merci ! Je crois que je vais finir par ouvrir une bibliothèque 😉

keisha 28 octobre 2016 - 9 h 19 min

Quand j’ai lu le titre du billet j’ai pensé ‘oh encore!’ en rigolant…
OK, que de bons choix, je ne peux t’en vouloir (perso j’attends que ma bibli vire ses vieilleries car je sais qu’il y a des pépites!)(et à la bourse au livre, rien de palpitant, pff)
Pas sortir avant 2017? J’y crois pas, il faudra bien promener le loulou (en direction des librairies, forcément, c’est lui qui tire sur la laisse;.
J’ai lu le Kenneth Cook (lu et approuvé) et True grit (what? tu aimes Christopher moore? Celui du lézard lubrique? whash, j’en suis encore mal remise!!! ^_^ Bargissime!

Electra 28 octobre 2016 - 9 h 58 min

merci ! oui, je pensais pourtant bien résisté mais quand ta BM fait une braderie et puis après ne plus pousser la porte d’une librairie, c’est l’enfer !
Oh oui, ils ont des pépites – guette la date de ta bibli ! je suis limitée à dix achats – bon c’est tant mieux
Oui, le loulou m’oblige à sortir ..
Pas encore lu Cook et True Grit (pourtant je sens qu’il est fait pour moi)
et oui j’ADORE Christopher Moore et le lézard lubrique et un Blues de Coyote et tous ses livres ! et oui il est totalement barré mais génial et Sacré Bleu m’a scotché l’an dernier ! Un must (sorti en Poche) 🙂

athalie 28 octobre 2016 - 9 h 47 min

La réserve de Russel Banks est juste génial !

Electra 28 octobre 2016 - 9 h 58 min

ah merci ! tu me rassures car j’ai douté en lisant la quatrième ! merci 🙂

Edwige Mingh 28 octobre 2016 - 16 h 16 min

Pas lu La Réserve, mais j’aime Russell Banks !

Electra 28 octobre 2016 - 17 h 20 min

Moi aussi ! 😉

EVA 28 octobre 2016 - 10 h 50 min

hé ben! 😀
je n’en ai lu aucun (j’ai lu quasiment tous les Banks sauf la Réserve) sauf Tatoo Girl…dont je garde très peu de souvenirs!
bon,va falloir lire (et chroniquer) tout ça, maintenant ! 🙂

Electra 28 octobre 2016 - 12 h 01 min

oui m’dame !
tu as lu tous les Banks sauf la Réserve ? on pourrait se faire une LC 😉
les chroniques arriveront à leur rythme ! je ne mens pas : il faut m’enfermer 3 mois au minimum 😉

Edwige Mingh 28 octobre 2016 - 16 h 24 min

En librairie ce matin pour récupérer ma commande : 3 Craig Johnson in english (non encore traduits par Gallmeister) : A Serpent’s tooth, Any other name, Dry Bones.
Un Joyce Maynard (pour suivre tes conseils) que j’avais peu lu L’Homme de la montagne !
Et un petit bouquin passionnant aux Puf de Carole Desbarats sur ma série culte « The West Wing » : Au coeur du pouvoir. Que je conseille vivement en ces temps de campagne us bien décevante…

Et puis, merci encore pour toutes c es idées !

Electra 28 octobre 2016 - 17 h 22 min

J’ai aussi plusieurs livres de CJ en anglais, je crois que j’en ai 2 que tu cites et le recueil de nouvelles sur Longmire 😉
Oh super pour L’homme de la montagne – j’espère que tu aimeras 😉
Ah oui, moi j’adore House Of Cards – et je lis en ce moment une biographie sur Hilary .. on se rejoint !

noukette 28 octobre 2016 - 21 h 20 min

OMG !!! Tu ne vas pas beaucoup dormir toi 😉

Electra 28 octobre 2016 - 21 h 44 min

oui je sais … SOS !

Jerome 29 octobre 2016 - 12 h 30 min

Quelle moisson ! Je n’ai lu que les deux Hillerman, j’attends ton avis sur le reste (y a du boulot^^).

Electra 29 octobre 2016 - 14 h 47 min

Euh oui …pas mal de boulot en perspective

Laure 29 octobre 2016 - 12 h 32 min

J’adore ton craquage !!! Et je rêverais aussi de pouvoir m’enfermer tout l’hiver pour bouquiner sans m’arrêter 😀

Electra 29 octobre 2016 - 14 h 48 min

Merci je pense que des stages lectures auraient du succès ?!

quaidesproses 29 octobre 2016 - 16 h 46 min

Ahaha, je pense que tu es tranquille pour un moment…. enfin, pour combien de temps :))
Belles lectures.

Electra 29 octobre 2016 - 18 h 36 min

Merci oui l’hiver peut arriver, je suis prête !

Marie-Claude 29 octobre 2016 - 17 h 53 min

Je songe sérieusement à supprimer ton blogue de ma blogroll.

Electra 29 octobre 2016 - 18 h 36 min

Meilleure réponse à mon billet !

gambadou 29 octobre 2016 - 21 h 33 min

Il y a tellement de tentations ! Je te comprends !

Electra 29 octobre 2016 - 21 h 35 min

Oui !! C’est comme pour ceux qui adorent les bonbons une librairie me fait le même effet !

Marie-Claude 29 octobre 2016 - 23 h 32 min

Et ton blogue aussi me fait le même effet, torpinouche!

Electra 29 octobre 2016 - 23 h 39 min

Mdr torpinouche ???? Désolée ! Et toi qui ressors sans livre de la librairie !

La Rousse Bouquine 31 octobre 2016 - 18 h 14 min

Que d’achats effectivement !
La braderie des bibliothèques c’est toujours fatal… Mais mon Dieu je n’imagine pas la tête de ta PAL (si je compte en plus les livres qui t’attendent encore au Canada ? 😀 )

Electra 31 octobre 2016 - 19 h 28 min

oh ne m’en parle pas ! déjà que j’ai deux paniers plein ! La cata.. Ma mission en lire un maximum et ne garder que les meilleurs, comme ça je vais faire de la place 😉

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